jeudi 30 septembre 2010

JONYTOY.

Blackstroke artworks

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Freakshow artworks


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JonyParty Artworks









mercredi 29 septembre 2010

Citizen K.



"Traitant de la mode, des tendances et des styles de vie, Citizen K s'est imposé comme le magazine de référence dans l'univers de la presse haut de gamme. Non seulement parce qu'il fait partie des leaders en matière de diffusion, mais aussi parce que son contenu rédactionnel et visuel le classe à part. Citizen K élargit en effet la palette des sujets traités au-delà de la mode stricto sensu. Il s'intéresse aussi bien à la littérature, aux voyages, au cinéma, au design, à la gastronomie, aux arts plastiques... Citizen K privilégie pour tous ces thèmes une approche pop et décomplexée, sans révérence ni préjugé. Citizen K fait valoir que le luxe est un art de vivre aux multiples aspects, accessible à tous ceux qui éprouvent un intérêt pour le sujet, et pas seulement aux fashion victims. Citizen K a bousculé les habitudes de son secteur de presse avec un marketing extrêmement innovant. Chacun de ses numéros constitue en effet un volume de plus de 360 pages, avec une qualité d'impression digne de l’édition de beaux livres. Cette véritable bible de la mode est pourtant offerte au prix de 1 euro, le tarif d'un simple quotidien."

Parce que j'adore les beaux livres, et les beaux magazines, je voulais vous parler de CITIZEN K.
Un numéro par saison, ce qui nous donne un total de 4 numéros par an. C'est vrai que ca parait peu, mais chaque volume contient tout de même un peu plus de 360 pages, pour 1 euro symbolique. C'est un argument de choque comparé à d'autres magazines tels que Vogue (vendu 4,50) ou Officiel. Mais cette raison économique n'est pas le seul atout de Citizen K. Je le trouve différent. Glamour, luxueux, trendy, mais intelligent. Des rubriques destinées à la mode femmes & hommes, du design, des arts plastiques, de la littérature, des voyages, du cinéma et d'autres. Des couvertures incroyables, avec Dita Von Teese, Eva Longoria méconnaissable, Sharon Stone, ou encore Helena Christensen. Des photos majestueusement belles, et des articles intéressants. Je suis entièrement sous le charme. Pour feuilleter un peu le magazine c'est ici!




mardi 28 septembre 2010

Bird in the Cage.

     
 
  Chaque tour de magie comporte trois parties ou actes.
 
           La premiere s'appelle La Promesse. Le magicien vous propose quelque chose d'ordinaire comme un jeu de cartes, un oiseau ou un homme. Il le présente. Peut-être même vous invite t-il à l'examiner afin que vous constatiez qu'il est en effet réel ou intact, normal. Mais il est bien entendu, loin de l'être.

        Le deuxième acte s'appelle Le Tour. Le magicien utilise cette chose ordinaire pour lui faire accomplir quelque chose d'extraordinaire. Alors vous cherchez le secret mais vous ne le trouvez pas, parce que bien entendu, vous ne regardez pas attentivement. Vous n'avez pas vraiment envie de savoir. Vous avez envie d'être dupé. 

        Mais vous ne pouvez vous résoudre à applaudir parce que faire disparaître quelque chose est insuffisant. Encore faut il le faire revenir. C'est pourquoi pour chaque tour de magie il existe un troisième acte. Le plus difficile. Celui que l'on nomme Le Prestige.